Duché de Montmirail

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Ysaline de Montmirail
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MessageSujet: 13 novembre 1308 : Prise de Dantzig par les Teutoniques   ephemeride - Page 25 EmptyMer 13 Nov - 21:54

ephemeride - Page 25 Dantzig-56c3b52

13 novembre 1308 : Prise de Dantzig par les Teutoniques

Le Chevaliers Teutoniques vinrent s'installer dans la forteresse comme alliés de la Pologne contre le Margraviat de Brandebourg.

Le 13 novembre 1308, à la suite d'un conflit sur le contrôle de la ville entre l'Ordre et le roi de Pologne, les chevaliers commirent des assassinats de citoyens dans la ville et l'administrèrent comme leur propre bien.

Ceci marqua le début des tensions entre la Pologne et l'ordre Teutonique.
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MessageSujet: 14 novembre 1805 : Napoléon Ier entre à Vienne   ephemeride - Page 25 EmptyJeu 14 Nov - 21:54

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14 novembre 1805 : Napoléon Ier entre à Vienne

Le 14 novembre 1805, fort de sa victoire sur la troisième coalition à Ulm, Napoléon Ier fait son entrée à Vienne à la tête de la Grande Armée. L'empereur des Français est au faîte de sa gloire et peut jouir de son triomphe dans la capitale de l'empire autrichien désertée par l'empereur François II de Habsbourg.
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MessageSujet: 15 novembre 1796 : Bataille d'Arcole   ephemeride - Page 25 EmptyVen 15 Nov - 21:54

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15 novembre 1796 : Bataille d'Arcole

Le 15 novembre 1796, le général Bonaparte, à peine âgé de 27 ans, remporte une brillante victoire sur les Autrichiens du général Avinczy à Arcole, dans le Piémont italien.

Son armée d'Italie ayant franchi l'Adige, elle tente en vain de franchir l'un de ses affluents, l'Alpone, à Arcole. N'en pouvant plus après trois jours de combats indécis, Bonaparte s'engage sur le pont sous la mitraille et plante un drapeau en son milieu. Mais ses soldats tardent à bouger et lui-même doit reculer, protégé par les grenadiers du général Lannes. Comme un Autrichien le met en joue, son aide de camp Jean-Baptiste Muiron le couvre de son corps et se fait tuer à sa place.

Bonaparte tombe dans le marais. Il se serait alors écrié : « Soldats, en avant pour sauver le général ». Ses grenadiers se lancent en avant. La victoire est à la France. L'opération a été facilitée par une ruse du général Belliard qui a ordonné aux tambours d'aller faire diversion sur les arrières des Autrichiens ! L'un de ces tambours, André Estienne, sera plus tard honoré par la Légion d'Honneur et une statue dans son village du Vaucluse. Une célèbre toile du baron Gros, au Louvre, montre le général Bonaparte à Arcole, sous un jour flatteur comme il se doit.
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MessageSujet: 16 novembre 1940 : De Gaulle crée l'ordre de la Libération   ephemeride - Page 25 EmptySam 16 Nov - 21:54

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16 novembre 1940 : De Gaulle crée l'ordre de la Libération

De passage à Brazzaville, capitale de l'Afrique Équatoriale Française, le chef de la France Libre fonde l'ordre de la Libération.

Cinq mois après l'invasion de la France par l'armée allemande, il veut avec cet ordre honorifique "récompenser les personnes ou les collectivités militaires ou civiles qui se seront signalées dans l'oeuvre de libération de la France et de l'empire".

1.059 croix ont été ainsi décernées jusqu'à la cessation d'attribution en janvier 1946.

Dix-huit l'ont été à des unités militaires et cinq à des communes françaises : Nantes, Grenoble, Paris, Vassieux-en-Vercors et l'Ile de Sein. 271 personnes ont par ailleurs reçu la croix à titre posthume. À titre exceptionnel, Winston Churchill et feu le roi George VI l'ont reçue en 1958 et 1960.

Le 16 novembre 2012, les Compagnons de la Libération, réduits à une vingtaine, transmettront aux cinq communes «compagnons» le soin d'entretenir leur souvenir ainsi que le musée installé aux Invalides. Il reviendra aussi à ces villes de désigner le successeur de l'actuel chancelier, le colonel Fred Moore, ancien de la 2ème DB.

Deuxième après la Légion d'Honneur dans l'ordre protocolaire, l'ordre de la Libération n'a eu qu'un seul Grand-Maître, le général de Gaulle. Il se flatte de ne compter dans ses rangs que d'authentiques résistants (à l'exception peut-être du trop flamboyant André Malraux) parmi lesquels des hommes de grand mérite comme François Jacob, Prix Nobel de médecine en 1965.
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MessageSujet: 17 novembre 2018 : Révolte des « Gilets jaunes »   ephemeride - Page 25 EmptyDim 17 Nov - 21:54

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17 novembre 2018 : Révolte des « Gilets jaunes »

Prenant de court le gouvernement, la classe politique et les médias, des centaines de milliers de Français, essentiellement dans les zones rurales et les petites villes, ont revêtu leur « gilet jaune », équipement de sécurité obligatoire dans toutes les voitures. Mobilisés par les réseaux sociaux, ils ont bloqué les ronds-points et manifesté dans les centres-villes, y compris à Paris, non sans être parfois débordés par des voyous et des groupuscules d’extrême-gauche ou d’extrême-droite. Les manifestations se renouvellent depuis lors samedi après samedi...

La colère de cette « France périphérique », selon l’expression du géographe Christophe Guilluy, est née d’une augmentation de la taxe sur le diesel motivée par la lutte contre le réchauffement climatique, qui faisait suite à une réduction de la vitesse sur route (80 km/h au lieu de 90), motivée, elle, par la sécurité routière. C’en était trop pour des citoyens qui ont le sentiment d’être délaissés par le pouvoir, isolés culturellement et socialement, opprimés par le fisc et contraints de supporter tout le fardeau de la mondialisation et de la « transition écologique » : désindustrialisation, désertification des villes moyennes, taxes et impôt...
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MessageSujet: 18 novembre 1626 : Consécration de Saint-Pierre de Rome   ephemeride - Page 25 EmptyLun 18 Nov - 21:54

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18 novembre 1626 : Consécration de Saint-Pierre de Rome

Le 18 novembre 1626, le pape Urbain VIII Barberini consacre la nouvelle basilique Saint-Pierre de Rome, sur la colline du Vatican.

Du Latran au Vatican

Une première basilique a été bâtie treize siècles plus tôt, à partir de 322, à l'initiative de l'empereur Constantin, en ce lieu où, si l'on en croit la tradition, l'apôtre Pierre aurait été enseveli après son martyre.

Mais au cours du Moyen Âge, la colline du Vatican, située sur la rive droite du Tibre, à l'écart de Rome, retombe dans un relatif oubli. Jusqu'à leur départ pour Avignon, en 1305, les papes résident essentiellement dans le palais du Latran, sur la propriété d'une ancienne famille romaine, les Laterani, devenue résidence des empereurs après que ceux-ci eurent abandonné le mont Palatin. Les papes du Moyen Âge apprécient aussi la basilique Sainte-Marie-Majeure, construite au IVe siècle sur la colline de l'Esquilin.

Au milieu du XIIe siècle, le pape Eugène III fait construire un palais au Vatican, à côté de la basilique Saint-Pierre, qui a conservé son prestige lié au martyre de l'apôtre. Le pape Innocent III prend l'habitude de résider dans ce palais qui devient le deuxième pôle administratif du Saint-Siège, à côté du Latran.

Tout bascule en 1377 quand le pape, reprenant le chemin de Rome, trouve le palais du Latran dans un tel état de dévastation qu'il doit s'établir au Vatican. C'est le début d'un prodigieuse histoire.

Une basilique triomphante

En 1506, la vieille basilique Saint-Pierre menaçant ruine, le pape Jules II décide de la reconstruire. Il fait appel à la générosité des fidèles pour financer l'entreprise de reconstruction.

Les plus grands artistes de la Renaissance italienne sont associés à la construction de la nouvelle basilique. C'est ainsi que l'architecte Bramante dessine le plan de la basilique. En rupture avec la tradition médiévale, il opte pour un plan en forme de croix grecque (avec quatre branches égales). Mais en 1546, Michel-Ange Buonarroti (71 ans) remanie les plans de son ancien rival, mort en 1514, et dessine une majestueuse coupole (136,50 mètres de hauteur totale). Ce n'est pas fini...

En 1605, après une longue controverse, le pape Paul V Borghèse décide d'abandonner la croix grecque du plan initial. La nef est prolongée et transformée en croix latine pour se conformer aux préceptes et aux rituels de la Contre-Réforme catholique.

Au XVIIe siècle, enfin, l'artiste baroque Le Bernin conçoit un baldaquin monumental de 29 mètres de haut au-dessus de l'autel et de la tombe de Saint Pierre. Il réalise la colonnade aux 140 statues qui encadre avec harmonie le parvis et permet à trois cent mille pèlerins d'assister aux cérémonies et d'avoir vue sur la célèbre fenêtre d'où les papes adressent leur bénédiction urbi et orbi.

D'une superficie de 22 000 m2 (quatre fois plus vaste que Notre-Dame de Paris), Saint-Pierre est de fait le plus vaste édifice religieux qui soit. La somptuosité de sa façade, de sa colonnade et de sa nef intérieure en font le chef-d'oeuvre de l'architecture baroque.

En 1940, la découverte d'une très ancienne nécropole chrétienne a paru confirmer la présence de la dépouille de Pierre sous le maître-autel de la basilique.
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MessageSujet: 19 novembre 1954 : Lancement de Télé Monte-Carlo   ephemeride - Page 25 EmptyMar 19 Nov - 21:54

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19 novembre 1954 : Lancement de Télé Monte-Carlo

Le 19 novembre 1954, jour de la fête nationale monégasque, Télé Monte-Carlo est inaugurée par le prince Rainier III en présence de Charles Michelson, home d'affaires, et d'Henri de France, inventeur du système Secam.

Elle est la seconde chaîne de télévision privée en Europe après Télé Saar qui a commencé ses programmes en Sarre en février de la même année et sont toutes deux la propriété de la société du Prince Rainier III et de Charles Michelson, Images et Son.

Le siège de la chaîne est alors situé dans les locaux de Radio Monte-Carlo au 16, boulevard Princesse-Charlotte à Monte-Carlo, où elle occupe un studio TV avec télécinéma conçu par Henri de France. Sa diffusion hertzienne analogique s'opère depuis la gigantesque antenne panneau de 50 kilowatts du Mont Agel (Alpes-Maritimes) orientée vers la Principauté, mais dont le canal VHF 10-H au standard 819 lignes attribué par l'UER peut être capté par toute la Côte d'Azur de Menton à Toulon, le littoral nord de la Corse et jusque dans les quartiers hauts de Marseille, largement au-delà des prévisions initiales, permettant également à ces régions françaises de recevoir la télévision, bien avant l’arrivée de la Radiodiffusion-télévision française qui ne couvre pas encore tout le territoire français. Afin de toucher les vallées encaissées dans lesquelles la bande I (41-68 MHz) passe mieux que les fréquences plus élevées du canal 10 en bande III, la principauté obtient de l'UER l'autorisation de pratiquer des essais sur le canal 2-H français (41,25-52,40 MHz) avec la même puissance (50 kW) mais ceux-ci s'avèrent peu concluants. La mise en service en 1960 de l'émetteur RTF définitif de Bastia sur ce même canal, risquant d'être brouillé par celui du Mont Agel, met fin à la double diffusion de TMC en bandes I et III.
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MessageSujet: 20 novembre 1815 : Traité de Paris et fin de l'Empire   ephemeride - Page 25 EmptyMer 20 Nov - 21:54

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20 novembre 1815 : Traité de Paris et fin de l'Empire

Le traité de Paris du 20 novembre 1815 sanctionne le retour de Napoléon de l'île d'Elbe et sa défaite à Waterloo.

Du premier traité aux Cent Jours

L'année précédente, après l'abdication de Napoléon Ier, les vainqueurs avaient permis à la France de conserver ses frontières de 1792 par le premier traité de Paris.

Les Français ayant restauré la monarchie, le vieux roi Louis XVIII se montre prêt à tous les arrangements et instaure un gouvernement constitutionnel. Cependant, sur l'île d'Elbe dont il est devenu le souverain, Napoléon s'ennuie. Le 1er mars 1815, il débarque par surprise à Golfe-Juan avec 900 grenadiers et profite du mécontentement latent pour s'emparer du pouvoir.

Cette escapade dure à peine cent jours avant de s'achever à Waterloo par une défaite définitive.

Des vainqueurs moins accommodants

Tremblants de frayeur rétrospective, les Alliés se montrent beaucoup plus durs dans la renégociation du traité avec la France. Celle-ci perd des terres qui étaient siennes depuis longtemps. Notamment le duché de Bouillon, Philippeville, Marienbourg, Sarrelouis et Sarrebrück, Landau, le pays de Gex et la Savoie. Elle doit aussi payer une indemnité de 700 millions de francs et subir l'occupation étrangère pendant trois ans.

Le gouvernement de Louis XVIII applique néanmoins à la lettre les termes du traité, ce qui lui vaut de réintégrer le concert des nations européennes trois ans plus tard. Quant à l'empereur déchu, il échange la principauté tranquille de l'île d'Elbe contre la prison lugubre de Sainte-Hélène.

Guidés par l'école romantique, les Français se consolent en exaltant le souvenir de la Révolution et de l'Empire.
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MessageSujet: 21 novembre 1808 : Création du département du Tarn-et-Garonne   ephemeride - Page 25 EmptyJeu 21 Nov - 21:54

ephemeride - Page 25 Tarnetgar-56c9e3f

21 novembre 1808 : Création du département du Tarn-et-Garonne

Le 21 novembre 1808, par décret impérial de Napoléon Ier, est créé le Tarn-et-Garonne avec des territoires pris aux départements voisins.

Sous l'Ancien Régime, la sénéchaussée de Cahors (12 députés) comprenait quatre bailliages secondaires (dont celui de Montauban), mais la généralité de Montauban englobait à la fois le Quercy et le Rouergue.

Après la création des départements en 1790, Montauban n'était plus qu'une sous-préfecture du Lot. Cette situation déplaisait fort aux notables montalbanais.

L'Empereur fut donc sollicité par les notables de la ville et créa le Tarn-et-Garonne par redécoupage et annexion partielle des territoires des départements voisins.
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MessageSujet: 22 novembre 1975 : Avènement de Juan Carlos   ephemeride - Page 25 EmptyVen 22 Nov - 21:55

ephemeride - Page 25 1975_juancarlos-56caac2

22 novembre 1975 : Avènement de Juan Carlos

Le 22 novembre 1975, Juan Carlos Ier est proclamé roi d'Espagne après la mort de Franco et après avoir assuré l’intérim durant les périodes de maladie de ce dernier.
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MessageSujet: Re: ephemeride   ephemeride - Page 25 EmptySam 23 Nov - 18:54

23 novembre
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MessageSujet: Le 23 novembre 1868 : Invention de la photographie en couleurs   ephemeride - Page 25 EmptySam 23 Nov - 21:54

ephemeride - Page 25 Ducos-56cbe31

23 novembre 1868 : Invention de la photographie en couleurs

Le 23 novembre 1868, en France, le physicien Louis Ducos du Hauron dépose un brevet de photographie en couleur.

Ses travaux lui auront pris dix ans ans. Il présente, lors de l’exposition Universelle en 1878, à Paris, des clichés en couleur.

Ducos du Hauron emploie la synthèse soustractive : utilisation des trois couleurs primaires bleu, jaune et rouge, obtenues par trois prises de vues successives au travers de trois filtres de couleurs complémentaires (respectivement orangé, violet et vert), chacune sélectionnant la couleur voulue. Chaque photographie est tirée dans la couleur correspondante sur un support transparent, la superposition des trois donnant une image en couleurs comme un vitrail, ou imprimée sur papier. Si le principe est simple, on se heurte aux difficultés techniques : faible sensibilité des plaques, longueur des poses, couleurs des filtres, stabilité des pigments, impression des nuances limitée....
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MessageSujet: 24 novembre 380 : Edit de Thessalonique   ephemeride - Page 25 EmptyDim 24 Nov - 21:54

ephemeride - Page 25 Theodosius_i-56cc82a

24 novembre 380 : Edit de Thessalonique

L'édit de Thessalonique est promulgué par l'empereur romain Théodose Ier le 24 novembre 380. Il exige l'adoption du christianisme par toute la population de l'empire, et fait de ce christianisme dit « nicéen » la seule Église légale, toutes les autres étant dès lors considérées comme hérétiques.

    Édit des empereurs Gratien, Valentinien II et Théodose Auguste, au peuple de la ville de Constantinople.

    Nous voulons que tous les peuples que régit la modération de Notre Clémence s'engagent dans cette religion que le divin Pierre Apôtre a donnée aux Romains - ainsi que l'affirme une tradition qui depuis lui est parvenue jusqu'à maintenant - et qu'il est clair que suivent le pontife Damase et l'évêque d'Alexandrie, Pierre, homme d'une sainteté apostolique : c'est-à-dire que, en accord avec la discipline apostolique et la doctrine évangélique, nous croyons en l'unique Divinité du Père et du Fils et du Saint-Esprit, dans une égale Majesté et une pieuse Trinité.

    Nous ordonnons que ceux qui suivent cette loi prennent le nom de Chrétiens catholiques et que les autres, que nous jugeons déments et insensés, assument l'infamie de l'hérésie. Leurs assemblées ne pourront pas recevoir le nom d'églises et ils seront l'objet, d'abord de la vengeance divine, ensuite seront châtiés à notre propre initiative que nous avons adoptée suivant la volonté céleste.

    Donné le troisième jour des calendes de mars à Thessalonique, Gratien Auguste étant consul pour la cinquième fois et Théodose Auguste pour la première fois.
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MessageSujet: 25 novembre 1936 : Pacte anti-Komintern   ephemeride - Page 25 EmptyLun 25 Nov - 21:54

ephemeride - Page 25 Anti-komintern-56cd442

25 novembre 1936 : Pacte anti-Komintern

Le pacte anti-Komintern est un traité signé le 25 novembre 1936 entre l'Allemagne nazie et l'Empire du Japon, lesquels sont ensuite rejoints par d'autres États ayant des gouvernements fascistes, à tendance fasciste ou soutenant l'Axe pour des raisons politiques.

Historique

Occupant le Mandchoukouo depuis 1931, l'Armée impériale japonaise se heurte à l'Armée rouge sur les confins de la Sibérie et de la République populaire mongole. Cette tension permet à l'Allemagne anticommuniste de se rapprocher du Japon. Le 25 novembre 1936, ils signent le pacte anti-Komintern.

Selon le texte public, cet accord est destiné à contrer l'Internationale communiste (IIIe Internationale).

Selon un protocole secret, les deux pays se prêtent secours (assistance militaire) si l'un des deux est attaqué par l'URSS.

Le régime d'Hitler insiste pour que le Royaume d'Italie adhère à ce pacte. Mussolini signe ce traité un an plus tard, le 6 novembre 1937. Le Royaume de Hongrie y adhère à son tour le 25 février 1939 et l'Espagne franquiste le 27 mars 1939.

La Finlande signe le pacte le 25 novembre 1941 lorsque débute la guerre de Continuation.
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MessageSujet: 26 novembre 1865 : Alice au pays des merveilles   ephemeride - Page 25 EmptyMar 26 Nov - 21:54

ephemeride - Page 25 Lewis_carroll_400-56ce050

26 novembre 1865 : Alice au pays des merveilles

Les Aventures d'Alice au pays des merveilles (Alice's Adventures in Wonderland), fréquemment abrégé en Alice au pays des merveilles, est un roman écrit en 1865 par Lewis Carroll, nom de plume de Charles Lutwidge Dodgson.

À l'origine, lors de sa première écriture, le livre n'était pas destiné aux enfants. L'écriture fut reprise une seconde fois pour les enfants en conservant les personnages merveilleux qui la rendaient si attrayante pour ce jeune public. Le roman foisonne d'allusions satiriques aux amis de l'écrivain et aux leçons que les écoliers britanniques devaient mémoriser à l'époque. Le pays des merveilles, tel qu'il est décrit dans le conte, joue sans cesse avec la logique.

Le livre a connu une suite intitulée De l'autre côté du miroir. Les adaptations cinématographiques combinent souvent des éléments des deux livres.

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MessageSujet: Re: ephemeride   ephemeride - Page 25 EmptyMer 27 Nov - 21:54

27 novembre
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MessageSujet: 27 novembre 1095 : Urbain II lance la croisade   ephemeride - Page 25 EmptyMer 27 Nov - 21:56

ephemeride - Page 25 Clermontconcile-56cec68

27 novembre 1095 : Urbain II lance la croisade

Le 27 novembre 1095, le pape Urbain II lançait son fameux appel à la Croisade lors du Concile de Clermont.

Le concile de Clermont

Le 15 août 1095, en la ville du Puy en Velay, le pape Urbain II annonce solennellement sa décision de convoquer en un prochain concile tous les évêques d’Europe, les abbés et les supérieurs des monastères, les rois, les princes et les seigneurs de la chrétienté.

Il fixe le lieu : Clermont, en Auvergne, et la date : le dimanche après la Saint-Martin, soit cette année-là, le 18 novembre. La nouvelle fait grand bruit. C’est que ce pape, sur le trône de Saint-Pierre depuis sept ans, jouit d’une réputation telle que nul ne s’aviserait de prendre cette convocation à la légère. Il est nécessaire de saisir cette personnalité hors du commun pour mieux comprendre le retentissement de son appel et le succès de son "prêche pour la croisade" qui fut, sans aucun doute, l’un des événements du Moyen Age les plus lourds de conséquences dans tous les domaines.

L’appel des chrétiens d’Orient

Urbain II était parfaitement informé de la situation précaire dans laquelle se trouvait l’empereur de Constantinople, Alexis Comnène, menacé par les Turcs. Il avait entendu l’appel au secours des chrétiens d’Orient et y avait été très sensible. Lorsqu’il veut lancer chevaliers et princes chrétiens vers la Terre Sainte, son discours rencontre un public déjà en majorité averti.

L’idée d’une croisade n’est pas née du jour au lendemain. Elle était dans l’air. Cependant, elle n’avait encore jamais été officiellement lancée. Grégoire VII, vingt ans auparavant, avait déjà donné l’alerte sur la situation mais ses propos n’avaient guère atteint qu’un auditoire restreint. La grande nouveauté du Concile de Clermont n’est pas tant dans les mots que dans l’importance en nombre et en qualité des auditeurs.

La convocation du Concile

L’année 1095 marque le tournant décisif. En mars, Urbain II convoque d’abord un important concile à Plaisance réunissant tous les évêques d’Italie, de France et d’Allemagne, plus 4000 clercs et près de 30.000 laïcs, les séances étant publiques. Il fait à nouveau condamner les simoniaques et l’anti-pape (lequel ne restait pas inactif, loin de là, puisqu’il réussit à soulever les Lombards contre Urbain, à envahir Saint-Pierre de Rome, et à convoquer un concile illégitime). Mais il accorde un "délai de grâce" au roi de France pour qu’il règle sa situation conjugale. Urbain II se pose donc en véritable chef de la chrétienté, chargé, à l’extérieur, de la libération de celle-ci, et à l’intérieur, de la restauration de l’ordre.

Durant le printemps, il admoneste les cités italiennes, Crémone, Milan, Come, Asti, pour éviter qu’elles ne prennent parti pour l’empereur germanique. Puis il décide de gagner la France où il sait trouver large audience.

C’est ainsi qu’en août 1095, il lance la convocation du Concile de Clermont. En attendant que les préparatifs s’organisent, il entreprend une intense série de visites, parcourant le Dauphiné, le Gévaudan, le Rouergue, la Provence. On le voit à La Chaise-Dieu, Valence, Saint-Gilles (où il rencontre le comte Raymond), Tarascon, Avignon, Lyon, Vienne puis, après s’être arrêté dans toutes les abbayes clunisiennes sur son trajet, il se rend à Cluny même dont la vaste église abbatiale n’est pas encore tout à fait terminée et il préside à la translation des reliques de saint Mayeul à Souvigny.

Enfin, le 18 novembre, comme prévu, il ouvre le Concile à Clermont. Sont présents, dans cette modeste cité arverne, treize archevêques, une centaine d’évêques (il manquait plusieurs évêques allemands favorables à l’anti-pape), une multitude d’abbés, de princes, de chevaliers, sans compter une foule évaluée à plus de cent mille personnes. Il gèle à pierre fendre. L’évêque de Clermont, Durand, un clunisien, épuisé par les nécessités de l’organisation, meurt. Deux autres décèdent après lui : l’assemblée réunie commence donc par célébrer des funérailles.

Les thèmes du discours de Clermont

Ce n’est qu’à la dixième séance qu’il prêche la Croisade. Il évoque, avec grande émotion, les souffrances subies par les chrétiens d’Orient et le Saint-Sépulcre de Jérusalem, profané, aux mains des Infidèles. Ce sont, pour les auditeurs de l’époque, des thèmes mobilisateurs. Il s’adresse aux chevaliers et aux gens d’Eglise : Soldats de Dieu, tirez le glaive et frappez vaillamment les ennemis de Jérusalem. Dieu le veut. Ce dernier cri sera repris sur place par tous les présents et, plus tard, par les croisés à l’assaut des murailles de Jérusalem.

Un retentissement considérable

Le discours d’Urbain II suscite immédiatement des décisions : l’évêque du Puy, Adhémar de Monteil, celui-là même qui l’avait accueilli en août, est le premier à annoncer son départ pour Jérusalem. Puis ceux de Toulouse, dont Raymond de Saint-Gilles, qui avec ses hommes, avaient déjà combattu les Maures en Espagne. Et les Normands, Robert Courteheuse (fils de Guillaume le Conquérant), Bohémond de Tarente et Tancrède. Les Flamands, les Rhénans et les Lorrains. Ils sont tellement nombreux à vouloir s’engager que le pape fait distribuer des morceaux d’étoffe cousus en croix pour distinguer les partants des autres. Il demande que soit désigné un chef spirituel : ce sera Adhémar de Monteil. Mais qui serait le chef militaire ? Le roi de France et l’empereur d’Allemagne sont excommuniés… et celui d’Angleterre, Guillaume le Roux, au bord du schisme ! Les évêques se tournèrent alors vers l’Est, indiquant Ladislas de Hongrie et son neveu Conrad de Bohême. Ce choix généra dans leurs pays respectifs de graves querelles.

"La croisade, résume René Grousset, se propagea avec une rapidité inouïe parce que ce fut une idée passionnelle, suscitant une mystique collective".

Urbain II à Clermont donnait à la chrétienté un idéal fédérateur, capable de mobiliser des foules. L’année 1095 fut donc celle d’un formidable élan spirituel.

Un immense enthousiasme se fit jour, mais essentiellement parmi le clergé et le peuple, et si quelques chroniqueurs affirment que l’on vit aussitôt accourir, de toutes les parties du monde, des comtes, des prélats, des gens du peuple, "et des rois en dernier lieu…", ceux qui répondirent à l’appel le firent avec zèle et ardeur. Néanmoins, on ne peut manquer de remarquer que plusieurs grands personnages ne semblent guère pressés de partir. Henri IV d’Allemagne, malgré les tentatives de réconciliation lancées par le pape Urbain, se dit toujours son ennemi, et les barons germaniques restent à l’écart. Les princes des grandes villes de Lombardie et de Vénétie, se comptent en petit nombre. Et le roi de France, Philippe, comme on l’a vu, se montre récalcitrant à faire amende honorable.

"Au total, constate Jacques Heers, cette croisade n’a pas, et de loin, mobilisé tous les chrétiens d’Occident. Les Espagnols se trouvaient engagés dans leur combat contre l’Islam et les Italiens, du nord et du centre de la péninsule, englués dans leurs guerres civiles".
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MessageSujet: 28 novembre 587 : Traité d'Andelot   ephemeride - Page 25 EmptyJeu 28 Nov - 21:54

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28 novembre 587 : Traité d'Andelot

En novembre 587, le roi Childebert II d'Austrasie, accompagné de sa mère la reine Brunehaut et de sa sœur Chlodoswinthe ainsi que de son épouse Faileuba et du conseiller Magnéric de Trèves, alla à la rencontre de Gontran, roi des Francs de Burgondie, à Andelot, près de Chaumont dans la Haute-Marne, afin de réconcilier les royaumes d'Austrasie et de Burgondie.

Les parties s'échangèrent des prisonniers : les Austrasiens livrèrent le duc Gontran Boson aux Burgondes, que le roi Gontran fit juger immédiatement et condamner à mort, et les Burgondes livrèrent aux Austrasiens Dynamius le Patrice, recteur de Provence, et Loup, duc de Champagne, que Childebert II accepta de reprendre sous sa domination. Les deux rois négocièrent un pacte, lequel déboucha sur le traité d'Andelot, daté du vendredi 28 novembre 587, en présence de nombreux évêques et grands laïcs des deux royaumes.

Ce traité assura la paix perpétuelle entre l'Austrasie et la Burgondie et reconnut à Gontran les possessions de Châteaudun, Vendôme et les fortifications de la région de Chartres et d'Étampes.

Childebert II se vit reconnaître, à l'exception du duché de Dentelin (c'est-à-dire Paris), les possessions de son père Sigebert Ier : Meaux, Tours, Poitiers, Avranches, Aire-sur-Adour, Couserans, Labourd et Albi. De plus, il reçut les deux tiers de Senlis avec une option d'achat sur le dernier tiers, propriété de Gontran, en échange de domaines situés à Ressons, près de l'Oise.

Le traité disposait en outre que le dernier vivant recevrait le domaine de l'autre. Gontran considérait son neveu comme son héritier. En échange, Childebert s'engagea à protéger la princesse Clotilde, fille du roi Gontran, après la mort de celui-ci.

Si Childebert venait à mourir en premier, Gontran s'engageait à protéger les princes Thibert II et Thierry II, les faisant héritiers des deux royaumes, la reine-mère Brunehaut, la sœur du roi, la princesse Clodoswinthe et la reine Faileuba.

Le texte reconnut officiellement à Brunehaut son pouvoir de reine, par la mention de son nom sur la suscription du traité. Brunehaut réclama le morgengabe que Chilpéric Ier avait constitué pour Galswinthe en Aquitaine, Gontran lui restitua Cahors mais, bien que Brunehaut s'en vît confirmer la propriété, il décida d'administrer en usufruit sa vie durant Bordeaux, Limoges, le Béarn et la Bigorre.

Chlodoswinthe, Faileuba et Clotilde, nièce de Brunehaut, furent assurées de leurs rentes et biens en dépit de la mort des souverains mérovingiens.

Les anciens leudes de Sigebert Ier durent jurer fidélité à Childebert II et l'accueil de fuyards fut interdit. Néanmoins, le texte assurait la libre circulation des voyageurs et des marchands entre les deux royaumes. Les parties stipulèrent également que les dons accordés par les souverains restaient valides malgré les partages de territoire. Les deux rois et la reine jurèrent de respecter le pacte, échangèrent des cadeaux et s'embrassèrent en signe de paix.

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MessageSujet: 29 novembre 1516 : Traité de Fribourg   ephemeride - Page 25 EmptyVen 29 Nov - 21:54

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29 novembre 1516 : Traité de Fribourg

Le 14 septembre 1515, à Marignan, François Ier remporte une victoire éclatante sur les Suisses qui ont conquis le duché de Milan. Suite à la bataille, des tractations aboutissent, le 29 novembre 1516, au traité de Fribourg signé entre les treize Cantons confédérés et le royaume de France. Les guerres d'Italie sont dès lors terminées pour les Suisses.

Pourtant François Ier ne souhaitait pas cet affrontement. Au contraire il cherchait à se réconcilier avec la Confédération helvétique. Pour cela, il accepte de payer un prix considérable en argent mais aussi en octroyant aux Confédérés la domination sur les vallées du Tessin actuel qui appartenaient au duc de Milan et en leur renouvelant des privilèges commerciaux importants, notamment dans les villes de foire que sont Milan et Lyon. Le traité de Fribourg prend le nom de Paix perpétuelle, ce qui signifie qu'il ne s'agit pas d'une simple trêve mais qu'il s'inscrit dans la durée.

Cinq ans plus tard, en mai 1521, la France et la Suisse signent une véritable alliance, ce qui fonde la politique suisse pendant l'Ancien Régime : la Confédération helvétique exporte ses soldats et d'autres marchandises exclusivement en France et les rois maintiennent l'équilibre interne parmi les cantons protestants et catholiques qui frôlent régulièrement la guerre civile.

Et l'accord se maintient jusqu'en 1798. La France est alors en guerre contre la coalition constituée par l'Autriche, la Russie et, dans une moindre mesure, l'Angleterre. Sous prétexte de venir en aide aux mouvements d'émancipation des sujets francophones du canton de Berne, la République attaque les républiques prémodernes que sont notamment Berne et les cantons de la Suisse centrale. Après l'échec de la République helvétique centralisée, Bonaparte édicte, par l'Acte de médiation de 1803, les frontières cantonales de la Suisse moderne dans sa structure fédérale.

Le congrès de Vienne de 1815 assure la neutralité suisse désormais garantie par l'ensemble des puissances européennes.
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MessageSujet: 30 novembre 1872 : Premier match international de football   ephemeride - Page 25 EmptySam 30 Nov - 21:54

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30 novembre 1872 : Premier match international de football

Le 30 novembre 1872, l'Écosse et l'Angleterre s'affrontent au stade du Hamilton Crescent à Partick, près de Glasgow.

Joué devant 4 000 spectateurs et finissant sur un score nul (0-0), il s'agit du premier match international de football.

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MessageSujet: 1er décembre 1832 : Fondation du Charivari   ephemeride - Page 25 EmptyDim 1 Déc - 21:54

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1er décembre 1832 : Fondation du Charivari

Le Charivari est un journal français et le premier quotidien illustré satirique du monde, qui parut de 1832 à 1937.

Fondé le 1er décembre 1832 par Charles Philipon comme un journal d'opposition républicaine à la Monarchie de Juillet, le journal satirique à vocation distractive s'affirma au cours de son histoire tantôt radical, conservateur, républicain ou encore anti-clérical.

Ses auteurs les plus notables furent notamment Taxile Delord ou encore Agenor Altaroche et ses caricaturistes les plus marquants furent entre autres Philipon, Nadar, Gustave Doré, Henri Rochefort, Cham et Honoré Daumier.

En baisse d'audience, le journal disparaît en 1937.
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MessageSujet: 2 décembre 1845 : Création de la Société Protectrice des Animaux   ephemeride - Page 25 EmptyLun 2 Déc - 21:55

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2 décembre 1845 : Création de la Société Protectrice des Animaux

En septembre 1843, Pierre Dumont de Monteux, médecin, est horrifié du spectacle qui s'offre à lui : un charretier malmène un cheval épuisé attelé à une carriole dans une rue de Paris, voyant l'homme le fouetter, le battre pour qu’il se relève et marche.

« Où est la justice, où est la pitié, où sont enfin tous les sentiments moraux qui doivent caractériser l’homme social ? » s'indigne-t-il.

Deux ans plus tard, en 1845, avec Étienne Pariset, il fait partie des pionniers qui fondent la Société Protectrice des Animaux, avec les encouragements du gouvernement. Elle est reconnue d’utilité publique quinze ans plus tard, en 1860, par Napoléon III alors empereur des français.

La société agit pour assurer la protection et la défense des animaux. Elle gère des refuges, des fourrières, ainsi que des dispensaires de soins aux animaux, à Paris et dans de nombreuses villes de France. Elle intervient aussi contre les mauvais traitements aux animaux à l'aide d'un réseau de délégués-enquêteurs bénévoles et d'inspecteurs qui travaillent en lien avec la direction de l'association, afin de poursuivre en justice les personnes suspectées de mauvais traitement envers les animaux.
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MessageSujet: 3 décembre 1984 : Catastrophe de Bhopal   ephemeride - Page 25 EmptyMar 3 Déc - 21:54

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3 décembre 1984 : Catastrophe de Bhopal

Dans la nuit du 3 décembre 1984 explose à Bhopal (Inde) une usine d'une filiale de la firme américaine Union Carbide produisant des pesticides, ce qui dégage quarante tonnes d'isocyanate de méthyle dans l'atmosphère de la ville.

Cet accident industriel tua officiellement 3 828 personnes, ce bilan ayant été revu en 1989 à 3 598 morts, puis à 7 575 en 1995.

Il fit en fait entre 20 000 et 25 000 morts selon les associations de victimes. Il y aurait eu 3 500 morts la première nuit et un grand nombre par la suite : la moitié dans les premières semaines et l'autre moitié de maladies provoquées par l'exposition aux gaz. Dans un article de 2010 du Washington Post consacré aux catastrophes industrielles et notamment la marée noire imputée à BP dans le Golfe du Mexique, le journaliste Paul Farhi évoque un bilan d'« au moins 12 000 personnes » pour la catastrophe de Bhopal. On dénombre par ailleurs 300 000 malades à cause de la catastrophe.
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MessageSujet: 4 décembre 1791 : Naissance de The Observer   ephemeride - Page 25 EmptyMer 4 Déc - 21:54

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4 décembre 1791 : Naissance de The Observer

Le premier numéro, publié le 4 décembre 1791, marqua la naissance du premier journal du dimanche dans le monde. En 2009, l'Observer serait le plus ancien journal au monde dans cette catégorie. En 1979, il était édité jusqu'à 1,3 million d'exemplaires par semaine, puis seulement 420 000 en 2008.

En 1911, le vicomte William Waldorf Astor acheta The Observer à la famille Harmsworth. Le journal resta Tory, comme il l'avait toujours été alors, jusqu'en 1942, lorsque prirent fin les trente-quatre années de James Louis Garvin à la tête de la rédaction. Par la suite, le journal se déclara non-partisan, ce qui était encore relativement inhabituel pour l'époque.

La propriété de la publication passa au fils du vicomte, Waldorf Astor, qui le légua à son tour à ses fils en 1948. L'un d'entre eux, David Astor, en deviendrait le rédacteur en chef pendant 27 ans. Sous sa direction, The Observer fut le premier journal britannique à s'opposer au gouvernement lors de la crise du canal de Suez en 1956, ce qui lui coûta de nombreux lecteurs.

En 1977, la famille Astor revendit un journal fortement affaibli au géant américain du pétrole ARCO, qui le revendit lui-même au groupe Lonhro en 1981. Depuis juin 1993, The Observer fait partie du Guardian Media Group.
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MessageSujet: 5 décembre 1934 : Incident de Welwel   ephemeride - Page 25 EmptyJeu 5 Déc - 21:54

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5 décembre 1934 : Incident de Welwel

Au cours des années 1930, le gouvernement éthiopien, en pleine centralisation et renforcement de l'État, met un accent sur sa présence militaire dans l'Ogaden, une région du sud-est de l'Empire. En parallèle, les Italiens, installés dans leur territoire somalien mènent d'incessantes incursions dans ce territoire éthiopien où ils finissent par s'implanter définitivement durant cette période.

Ils vont alors harceler les troupes impériales éthiopiennes. Au début de l'année 1934, les Éthiopiens s'approchent des avant-postes italiens suscitant les protestations de Rome, celle-ci considérant que son territoire a été violé. Toutefois, les Italiens refusent de délimiter concrètement la frontière avec leur voisin et ce pour maintenir leur présence. Haile Selassie Ier va alors envoyer une commission anglo-éthiopienne chargée de démarquer la frontière ; elle arrive le 22-23 novembre 1934 à Welwel.

Après plusieurs jours de tension pendant lesquels les commandants des deux forces sont restés face à face, une fusillade éclate le 5 décembre entre 15h30 et 17h30. Après deux jours de combat, les Éthiopiens se retirent face à l'aviation et aux blindés italiens. Les troupes de Haile Selassie ont perdu 130 hommes tandis que les Italiens comptent 30 morts et 100 blessés.

L'Italie rejette immédiatement la responsabilité sur l'Éthiopie, refuse initialement de soumettre le différend à un arbitrage et exige même des excuses. D'un point de vue strictement légal, elle est en tort puisque Welwel se trouve en territoire éthiopien.

L'affaire est portée par Haile Selassie devant la Société des Nations qui lors de cette crise diplomatique va montrer les limites de son action. Durant la période de discussions, les deux parties se préparent au conflit. Paule Henze estime qu'après Welwel, « l'Italie fut saisie d'un délire nationaliste qui étouffa la voix de la prudence et les craintes d'un échec », accélérant ainsi le processus menant au conflit. Pour Harold Marcus, dès le début de la crise, la guerre semble inévitable, puisque Mussolini aurait déjà clairement décidé d'une guerre.

Le 3 octobre 1935, après l'échec de toutes les négociations et discussions, l'Italie envahit l'Éthiopie, déclenchant ainsi le conflit annoncé par l'incident de Welwel.
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